Man Ray. Scan personnel de « Formes nues ». Editions d’Art Graphique, Paris 1935
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Man Ray
Man Ray. Scan personnel de « Formes nues ». Editions d’Art Graphique, Paris 1935
Raoul Ubac (Rolf Ubach)
Raoul Ubac. Scan personnel de « Formes nues ». Editions d’Art Graphique, Paris 1935
Hans Bellmer
Hans Bellmer. La poupée 1935
Via futuristika
Raoul Ubac
Raoul Ubac. Sleeping nude, nu couché 1939
Via futuristika
Man Ray
Man Ray. Sans titre 1931. Via futuristika
Man Ray
Man Ray. Illustration of Kiki 1924
Baron (Sterling Henry Nahum)
Baron (Sterling Henry Nahum). Pamela may
Theda Bara
National Studios. Theda Bara
Via historicalzg
Man Ray
Man Ray. Juliet in stocking mask 1945
Via mutualart
Man Ray
Man Ray. Yesterday, today, tomorrow 1924
Via manray-photo.com
Man Ray
Man Ray. Nu aux bras masqués vers 1930
Via RMN
Man Ray
Man ray. Nu aux bandes noires vers 1930
Via RMN
Madame d’Ora

Albert Walter Witzel
Albert Walter Witzel. Theda Bara
Via historicalzg
Alfred Cheney Johnston

Alfred Cheney Johnston
Alfred Cheney Johnston. Margaret Davis
Via historicalzg
Man Ray
Man ray. Helen Tamiris vers 1930. Superposition de deux négatifs®Man Ray Trust




Man Ray
Man Ray. Meret Oppenheim nue
Via RMN
Man Ray
Man Ray. Photomontage with nude and studio light
Via LJP
Man Ray
Man Ray. HelenTamiris 1929
Via Lifejournal
Edward Steichen
Edward Steichen. Katherine Cornell 1924
André Kertész
André Kertész. Distortion 1933
Via mutualart
André Kertész
André Kertész. Distortion 1933
Via mutualart
André Kertesz
André Kertesz. Distortion
Scan personnel de « Formes nues ». Edition d’Art Graphique et Photographique 1935
André Kertész
André Kertész. Jeu de tarot 1940
Via mutualart
André Kertész.
André Kertész.. The dancing faun 1919
Via Getty
Philippe Halsman
© Philippe Halsman Magnum Photos. Leopard Skull (collaboration with Salvador Dali) 1951
Frantisek Drtikol
Kiki de Montparnasse (Alice Ernestine Prin) 1901-1953 / Partie 1
1- Biographie ( source: wikipédia)
Kiki de Montparnasse ou Kiki, née Alice Ernestine Prin le 2 octobre 1901 à Châtillon-sur-Seine1 (Côte-d’Or) et morte le 23 mars 1953 à Paris, surnommée « la Reine de Montparnasse », fut modèle, muse et amante d’artistes célèbres, mais également chanteuse, danseuse, gérante de cabaret, peintre et actrice de cinéma et anima le quartier du Montparnasse durant l’entre-deux-guerres (1921-1939)
Enfant illégitime, la jeune Alice est élevée par sa grand-mère dans une grande pauvreté. À l’âge de douze ans, elle quitte Châtillon pour rejoindre sa mère, Marie Prin, linotypiste à Paris2. À treize ans, elle la retire de l’école pour la faire travailler comme apprentie.
Alice est successivement brocheuse, fleuriste, laveuse de bouteilles chez Félix Potin et visseuse d’ailes d’avion3. En 1917, elle est bonne à tout faire chez une boulangère, place Saint-Georges (Paris 9e). Se révoltant contre les mauvais traitements qu’elle subit, elle est renvoyée. Pour gagner de quoi vivre, elle pose nue chez un sculpteur. Cela cause une violente dispute avec sa mère qui l’expulse de chez elle malgré l’hiver. Elle est recueillie par le peintre Chaïm Soutine. Elle fréquente la brasserie La Rotonde mais au bar seulement. Pour avoir le droit de s’asseoir dans la salle, une femme doit porter un chapeau3. En 1918, elle se met en ménage avec un peintre juif polonais de 9 ans son aîné, Maurice Mendjizki.
Elle pose pour les peintres Amedeo Modigliani et Tsugouharu Foujita dont le Nu couché à la toile de Jouy sera l’événement du Salon d’automne de 1922. Elle adopte la coiffure au bol, les yeux abondamment soulignés de khôl, les lèvres peintes de rouge vif et le pseudonyme Kiki3.
En 1921, elle devient la compagne et le modèle préféré de Man Ray qui trouve son physique « de la tête aux pieds, irréprochable »3. Il lui fait rencontrer les dadas Tristan Tzara, Francis Picabia et les surréalistes Louis Aragon, André Breton, Paul Éluard, Max Ernst et Philippe Soupault.
Elle commence également à dessiner des portraits pour les soldats britanniques et américains qui fréquentent la Rotonde.
Kki peignant, Paris 1926
En 1929, Kiki devient la maîtresse du journaliste Henri Broca. Ce dernier fonde le magazine Paris-Montparnasse dans lequel paraissent les premiers chapitres du livre de souvenirs que Kiki s’apprête à publier. Malgré l’engagement du journaliste américain Edward William Titus, époux d’Helena Rubinstein, les autorités douanières refusent l’introduction du livre aux États-Unis pour cause de propos jugés « scabreux ».
Kiki est élue « Reine de Montparnasse »3. Cependant sa mère, puis Henri Broca sombrent dans la folie. Pour parer aux frais médicaux, elle fait le tour des boîtes de nuits où elle chante et danse. Elle se rend aux studios de la Paramount Pictures (Kaufman Astoria Studios) de New York, mais sans résultat.
Buvant trop et se nourrissant mal, à 33 ans, Kiki pèse 80 kg. Cela ne l’empêche pas de poser pour le peintre Per Grogh qui, trouvant sa « croupe très belle », pense « à un trois-mâts toutes voiles dehors ».
En 1936, Kiki ouvre son propre cabaret L’Oasis qui deviendra Chez Kiki. André Laroque, pianiste et accordéoniste de ce cabaret, agent des contributions indirectes le jour, devient son nouvel amant. Il aide Kiki à se déprendre de la drogue et tape à la machine ses souvenirs qui dormiront 65 ans avant d’être publiés3.
Kiki est inhumée au cimetière parisien de Thiais, dans une tombe reprise en 1974. Seul Foujita aurait assisté à son enterrement
2- Les dessins de Kiki (source: scans personnels du livre « Souvenirs » de Kiki)
Préfacé par Hemingway, censuré aux États-Unis en même temps que l’Ulysse de Joyce et publié une première fois en 1929, le manuscrit de ces Souvenirs remanié en 1938 avait disparu dans les années 50 avec son auteur. Il est réapparu récemment, étiqueté de la mention « infiniment précieux ».
Kiki. Idylle aux champs 1925
Kiki. Dimanche 1924
Kiki. L’école 1929
« …je n’ai pas beaucoup été à l’école parce que la maîtresse d’école était très méchante: elle n »aimait pas les pauvres. Elle nous traitait de pouilleuses, ce qui me vexait, étant donné que c’était la vérité. La plus grande punition qu’elle avait trouvée pour moi, c’était de me mettre dans un coin… »
Kiki. Les lavandières
Kiki. La petite Alice et le petit Henri 1929
« …j’avais un petit compagnon qui avait 8 ans et qui s’appelait Henri et avait de grands cheveux noirs bouclés….ce qui fait que je l’admirais, car moi j’avais toujours la tête rasée… »
Kiki. La bonne sœur Cornette. 1929
« …comme nous étions très pauvres, nous allions deux fois par semaine chez les Bonnes Sœurs Cornettes….C’était un vrai supplice…chaque fois que je tendais ma gamelle, j’apercevais deux yeux durs qui me détaillaient; des reproches me tombaient dessus: Ah! vous voilà la Prin! Est-ce que votre mère qui est à Paris ne peut pas vous nourrir ?… »
Kiki. Le clocher 1926
Kiki. En route pour Paris 1929
» …J’ai douze ans…on me confie à un chef de gare qui me fourre en première classe, en me recommandant à une dame qui me regarde avec hauteur…J’ai accroché en bandoulière un sac en toile avec mon nom brodé au fil rouge, de peur de me perdre…Pour faire de l’héroïsme, je sors de mon petit sac en toile un gros morceau de saucisson à l’ail et une petite bouteille de vin rouge… »
Kiki. Premier amour 1930
« …Le mien s’appelle Dédé…il doit avoir dans les dix-neuf ans. Il a la côte avec moi parce qu’il vit avec une femme. C’est elle qui trime, je suppose, lui ne fait rien…Au cinéma il ne laisse jamais ma bouche tranquille… »
Kiki. Lors d’une séance de pose 1929
« …Je pose aussi pour Foujita. Ce qui l’épatait chez moi, c’était mon sexe imberbe. Il venait fréquemment mettre son nez dessus pour voir si les…cheveux ne poussaient pas pendant la pose! il disait… »C’est igolo…pas poils! Pourquoi toi pieds sales? ». J’avais la manie de marcher pieds nus et il avait oublié de mettre des tapis… »
Kiki. scène de rue à New-york 1923
« …Je suis restée à New-York seulement trois mois…J’ai failli faire du cinéma pour Paramount. je suis allée faire un essai et avant d’entrer au studio, j’ai voulu me donner un coup de peigne. Quand je me suis aperçue que je l’avais oublié, j’ai pris une grosse colère et j’ai rebroussé chemin. tout ça pour un peigne!… »
Kiki. Le bar à Villefranche 1929
« …Il y a des marins américains…Je prends un petit air distant: j’ai un peu peur de ces grands gaillards…Nous commençons à danser vers cinq heures le soir, et nous finissons vers trois heures du matin… »
Kiki. Une prostituée et des marins devant un meublé 1929. Peinture
« …Un soir, je vais retrouver des matelots amis dans un bar anglais où nous n’allons jamais. J’avais à peine ouvert la porte que le patron me crie: » Pas de putain ici! ». Je me précipite sur lui et lui lance une pile de soucoupe sur la figure. Mes copains entament la bagarre, mais la police du bateau arrive!… »
Kiki. En correctionnelle 1929
« …Juger! Qui a le droit de juger?…Enfin mon avocat a plaidé. Il a dit que j’étais timbrée. Il a montré des certificats de maladie nerveuse. Le plus dur a été quand mon avocat m’a fait: » Dites merci à ces Messieurs! »…Et me voici libre… »
Kiki. Jean Cocteau
« …La première fois que j’ai vu Jean Cocteau c’était chez Man Ray où il était venu se faire faire sa photo. Il avait des gants en laine, rouge, blanc et noir. J’ai d’abord pensé qu’il était venu faire photographier ses gants!… »
Kiki. Femme à sa coiffure 1926
Kiki. La Funambule 1927
Kiki. Nus champêtres 1925
Man Ray. Reproduction d’une peinture de Kiki de Montparnasse 1925
André Kertész
André Kertész..Untitled, Toronto, 1981 (Vanessa Harwood, principal dancer with the National Ballet of Canada)
Via mikserdekibeyin
Charlotte Rudolph
Charlotte Rudolph. Le Saut de Palucca vers 1922-1923
Via centre pompidou
Kiril Bikov and Jon John
Kiril Bikov and Jon John 2011
Via borderlinebiennale
Pierre Radisic
Pierre Radisic. Sans titre
Via ferraton
Jacques Richez
Jacques Richez
Via auctionineurope
Jacques Richez
Jacques Richez. Diptyque 1979
Via ferraton
Fred P. Peel
Fred P. Peel. The vase and the maid 1935. Chloro bromide print photograph
Via nationalmediamuseum
Karl Struss
Photographe anonyme
Photographe anonyme. Composition à partir d’une plaque de verre brisée. France, vers 1900
Via lumièresdesroses
Mario Von Bucovich
Mario Von Bucovich. Berlin, 1927
Via lumieresdesroses
EDWARD STEICHEN
Edward Steichen. Drama behind the lens « Tamaris with a large art deco scarf » 1925
Via japantimes
Lotte Errel
Lotte Errel. Nu féminin 1930
Via drouot
Frantisek Drtikol
Frantisek Drtikol. Untitled 1927-1935
Via artnet
Frantisek Drtikol
Frantisek Drtikol, Mother Earth 1930
Via artnet
EDWARD WESTON
Edward Weston. Nude study 1910
Via mutualart
EDWARD WESTON
Edward Weston. Costum study.The Goldfish (Yvonne Verlaine) 1916
Via Getty
EDWARD STEICHEN
Edward Steichen. Isadora Duncan.The Parthenon
Via mutualart
EDWARD STEICHEN
Edward Steichen. Mrs. Peter F. Chambers, Vogue 1932
Via mutualart
EDWARD STEICHEN
EDWARD STEICHEN
Edward Steichen. Heavy roses, Voulangis France
Via mutualart
EDWARD STEICHEN
Edward Steichen.Isadora Duncan 1923
Via mutualart
Edward Steichen
EDWARD STEICHEN
Edward Steichen. The little round mirror 1901
Via Espritsnomades
EDWARD STEICHEN
Edward Steichen. Late Afternoon,. Venice 1913
Via RMN
EDWARD STEICHEN
PIERRE BOUCHER (1908-2000)
Il étudie à l’École des Arts Appliqués avant de collaborer dans les années 1930 à la revue Arts et Métiers Graphiques. Sa proximité avec les studios publicitaires et sa connaissance des techniques graphiques modernes seront déterminantes dans sa démarche artistique. En 1934, il crée avec René Zuber l’agence Alliance-Photo. Au sein de cette agence, il impose le premier code déontologique du photographe et le respect de la signature des photographes lors de la publication dans les médias. De ses fréquents voyages en Espagne, Égypte, Maroc, Monaco, Russie, Pérou, Bolivie, Brésil ou encore les États-Unis, il rapportera une importante collection de photographies dont certaines donneront lieu à des expositions.
Mais il marquera surtout son temps pour avoir largement contribué à faire entrer la photographie dans la modernité, comme matériau artistique à part entière, en utilisant les techniques mécaniques d’imagerie à des fins détournées. Avec Pierre Boucher, le photographe sort de la chambre noire pour s’initier à d’autres métiers. Acteur du courant photographique de la Nouvelle Vision ou Nouvelle Objectivité, Pierre Boucher explore divers aspects de la photographie avant-gardiste. On lui doit des nus surréalistes inspirés par Man Ray, des photogrammes, des photocollages, des solarisations et des surimpressions. Pour cet infatigable novateur de l’après cliché, toutes les techniques sont bonnes à explorer.
Sa démarche artistique se décline aussi sur des travaux de commande comme des affiches publicitaires, des illustrations documentaires, des reportages industriels ou des illustrations pour l’édition, comme la célèbre Méthode française de ski de Émile Allais. Il avait pour le sport une attirance toute spéciale pour laquelle il s’exprime en ces termes : « Aujourd’hui je chasse aux images. Il faut se satisfaire d’un rapide coup d’œil, saisir les mouvements en plein vol, capter la vie dans ce qu’elle offre de plus mouvant, de plus insaisissable. » (via http://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre_Boucher_%28photographe%29)
Pierre Boucher. Etude pour L’Esprit et la Matière 1939-1941
Pierre Boucher, Nude, Ruins of Volubilis, Morocco, 1936
Pierre Boucher. Nu couché 1935
Pierre Boucher, Untitled, 1937
Pierre Boucher, Violin nude, date unknown
Pierre Boucher, Nude phantasmagoria XI, c. 1937
Pierre Boucher, Nude phantasmagoria XIV, 1937
Pierre Boucher, The revolt, 1945
Pierre Boucher, The fall of bodies, 1936
Pierre Boucher, Female Nude, 1935
Pierre Boucher (French, 1908-2000). Etude. Original vintage color photogravure
Pierre Boucher. La chute d’un corps, Photocollage, 1936
Pierre Boucher. Double nu féminin, Négatif-Positif 1935

Pierre Boucher. Etude de nu. Rayogramme. Photogramme et solarisation. Via verdeau
Pierre Boucher. Femme-fleur, inversion négatif-positif, solarisation et photogramme, 1937
Pierre Boucher. Skier- solarisation 1948 photogravure
Pierre Boucher. Nu au chandelier, Surimpression, 1948
Pierre Boucher. Nu à la plume, 1932
Pierre Boucher. Nu à la flamme, solarisation 1937
Pierre Boucher, Nude in Telouet, Morocco, 1936
Pierre Boucher. Surimpression, 1934
Pierre Boucher. Nu aux blés, 1936
Pierre Boucher. Vernis à parquet (publicité pour un vernis à parquet)
Pierre Boucher1. Etude pour L’Esprit et la Matière 1939-1941
Pierre Boucher. Bras sur le Guadalquivir 1934
Pierre Boucher. Nu de dos sur la plage 1933
Pierre Boucher. Etude pour l’esprit et la matière 1939-1941
Pierre Boucher, Nude at the studio, 1938
Pierre Boucher. Nageuse 1945
Pierre Boucher. Serge Lifar dans « La Chute d’Icare »1938
Pierre Boucher. Nu à la cape
Pierre Boucher. Etude de nu n°19. Tiré du porte-folio Arts et Métiers
Serge Lifar in the ballet ‘Icare’, 1935 -by Pierre Boucher
Pierre Boucher. Nu à la chevelure
SOURCES: http://madivinecomedie.tumblr.com/
theredlist.fr
www.delcampe.fr
PIERRE BOUCHER
Pierre Boucher. Serge Lifar in the ballet « Icare »1935
viaMA DIVINE COMEDIE | chagalov: Serge Lifar in the ballet ‘Icare’,….
Serge Lifar in the ballet ‘Icare’, 1935 -by Pierre Boucher
Germaine Krull
FRANCOIS ANTOINE VIZZAVONA
(109) Béa Danté.
François Antoine Vizzavona. Study commissioned by the painter Romaine Brooks
PIERRE BOUCHER
FRANTISEK DRTIKOL
František Drtikol
František Drtikol
František Drtikol
Frantisek Drtikol. Composition
František Drtikol
Frantisek Drtikol. Danseuse 1920. Encre
František Drtikol
Frantisek Drtikol. Golgota. Encre
František Drtikol
Frantisek Drtikol. Five cut-out nudes, c.1930
František Drtikol
Frantisek Drtikol. Pagan fertility Altar 1919. Charcoal on brown paper
František Drtikol
Frantisek Drtikol. Nude 1913
František Drtikol
Frantisek Drtikol. Women in Light
František Drtikol
Frantisek Drtikol. Salomé 1913
Edward Weston
Edward Weston. Mexico, doll in chair 1925. The Marjorie and Leonard Vernon Collection
František Drtikol
Frantisek Drtikol. Dance study 1920
Frantisek Drtikol
Frantisek Drtikol. Salomé 1920
Man Ray
Baron (Sterling Henry Nahum). Alicia Markova as Giselle 1948. Source: etsy
Baron (Sterling Henry Nahum). Le jeune homme et la mort, taken on the stage at the Winter Garden Theatre 1947. Source: etsy